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Au début
S'étai juste quelques cicatrices qui allaient partir
Je ne voyais pas que sa pouvais empirer
Je continuais à évacuer toute mes peines
Sur mon corps
Une lame un rasoir
ça me suffisait pour me faire saigner
Me calmer
Puis cela suffisais plus
Pour évacuer tout le mal que j'avais
Je devais y aller plus fort
Toucher d'avantage la mort
Plus tard la mort j'y arriverais seul dans ma baignoire
je ferai pleurer mon bras de sang pour la dernière fois
Puis je partirais sans rien dire
Adieu...
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Sous tes airs de petite madame darck se cache un véritable cœur d'ange...
TOI je t'adore..
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Un jour l'amour demande à l'amitié...à quoi tu sers ?
L'amitié lui répond... à séché les larmes que tu fais couler...
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Elle est dure....
froide et triste....
surtout quand le monde
est autour et qu'il est là
entouré en étant seul...
elle enserre le coeur
de chagrin...
comme lors ce
qu'on regarde au loin,
espérant une visite,
d'amis...
d'elle...
et rien...
personne ne vient...
quelquefois
on la recherche...
pour s'isoler...
pour apprécier le calme...
mais jamais bien longtemps...
non...
il ne faut pas se fermer,
sans aller vers ceux qui sont seuls
comme cela toi...
la solitude...
tu ne seras plus cruelle...
mais simplement
un moment
un instant....
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Le sang se mit a couler,
Ma tete a tourner.
Je me laissais tomber par terre,
Comme je suis tombee devant cet amour ephemere.Puis j ai entendu une porte claquer,
Mon nom fut crie.
Tout a coup, je reconnu ta voix...
C etait bien toi !Tu es entrer,
M as pris dans tes bras.
J ai regretter
Le geste qui vain avant toi.Le sang continuais a ruisseler,
Tu ne savais que faire.
C est quand j ai dis "je t aime...",
mes dernier mots prononces,
Que tu es redescendu sur terre.Pour la premiere fois,
Tu as verse une larme pour moi.
Tu dis que si je devais partir,
Toi aussi tu allais en finir.Mes yeux se sont fermes,
Pour rester clos a jamais.
Mon ame s envolait...
Du haut de la piece, je te regardais.A ton tour, tu pris la lame
Pour rejoindre mon ame.
Tu as mele ton sang au mien,
Comme pour meler notre chemin.Tu t es allonge a mes cotes,
A enlacer mes doigts des tiens.
Tu dis : "on va se retrouver..."
Et ce fut la fin...
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